SNB-CFE-CGC-COFIDIS

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Lundi 27 juillet 2009 à 6:00

LA JOURNEE DE SOLIDARITE SUITE ET FIN



Extraits du procés verbal de désaccord :

Conformément aux dispositions de l'article L 3133-8 du Code du Travail, les parties se sont rencontrées le jeudi 18 juin 2009 pour convenir des modalités relatives à l'effectivité de la journée dite de solidarité.

L'ensemble des organisations syndicale présentes a exprimé la demande d'offrir cette journée de solidarité aux collaborateurs de l'entreprise au regard des bons résultats de l'entreprise et car cela serait fortement apprécié par les salariés et ce en contrepartie de leur investissement.

La Direction n'a pas accédé à cette demande d'une part, car il s'agit d'une solidarité nationale à laquelle par principe l'entreprise ne souhaite pas se soustraire et d'autre part, car le contexte économique et les résultats de l'entreprise ne permettent, ne justifient une telle mesure.

Devant ce refus, les organisations syndicales ont mis fin à la négociation et le procès-verbal de désaccord est établi.

En conséquence, en application des dispositions de l'article L 3133-9 du code du Travail, les modalités de relatives à la journée de solidarité seront définies par l'entreprise après consultation du Comité d'Entreprise.

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Extrait du Comité d'Entreprise du 10 juillet 2009 :


« ...La journée de solidarité est une journée due. Nous proposons que soit retirée aux salariés une journée de congé conventionnels. Les collaborateurs ne disposeront plus de 4 jours mais de 3 jours de congés conventionnels. »  


Syndicalement Votre,

Aïcha KADI
Olivier IMBERT


Mardi 30 juin 2009 à 17:50


La solidarité de l'entreprise


Suite à la négociation du 18 juin 2009 concernant la journée de solidarité, il en ressort que celle-ci est dûe par chaque salarié : soit 7 heures !

Même si à fin mai 2009 il vous restait un crédit d'heures, du temps libre, des congés conventionnels, des congés payés !
Déjà le 4 avril 2009 un mail de la DAHC parvenait aux chefs de service reprenant les modalités de récupération de cette journée et précisant que même si les organisations syndicales n'étaient pas d'accord, l'entreprise imposerait SA décision.

Le SNB demandait à l'entreprise d'offrir ces 7 heures, considérant la mobilisation de l'ensemble de chacun d'entre-nous. (Entraides, adaptation des prises de congés, Etat des soldes de congés ou de crédit d'heures importants...)

Petit rappel l'an dernier cette journée était offerte.

Nous n'avons pas été entendu ! encore un avantage de perdu !

L'équipe SNB

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